« Il faut parler avec la Russie même si nous n’avons pas les mêmes valeurs », a déclaré, le 5 mai dernier, le président français Emmanuel Macron sur son compte Twitter. Et voilà que le dialogue s’engage. Le 29 mai, Vladimir Poutine ira à Paris à l’occasion de l’ouverture d’une exposition sur Pierre le Grand, organisée à Versailles, et rencontrera son homologue français.
Cette visite donne de l’espoir aux milliers de Russes et de Français qui, dans le climat tendu de ces dernières années, ont continué de se rendre visite, de mener des projets communs et de s’apprécier. « La méfiance mutuelle doit être dépassée », écrivait Vladimir Poutine dans son message de félicitations à Emmanuel Macron, le jour de la victoire de ce dernier à la présidentielle. Un mot qui pourrait être signé par plus d’un, de Moscou à Paris.
Car contrairement à ce que dit la presse, la Russie n’est pas un adversaire de la France, et ce qui rapproche les deux pays est autrement substantiel que ce qui les sépare. […]
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