Lundi 12 janvier, le soldat Valeri Permiakov, de la 102e base militaire russe, située en Arménie, a assassiné toute une famille de six personnes, dans la ville de Gyumri. Une fillette de deux ans figure parmi les victimes immédiates et un bébé de six mois est décédé plus tard à l’hôpital, suite à des coups de couteau. Le « massacre de Gyumri » a quasiment immédiatement revêtu une dimension politique et provoqué d’importantes manifestations, parfois violentes, à Gyumri même, à Erevan et dans d’autres villes d’Arménie. La revue Rousskiï Reporter a discuté des conséquences possibles de cette tragédie avec Alexandre Iskandarian, célèbre politologue originaire d’Erevan et directeur de l’Institut du Caucase.
Rousskiï Reporter : La tragédie de Gyumri pourrait-elle, selon vous, avoir un impact négatif sur les relations russo-arméniennes ?
Alexandre Iskandarian : Je ne le pense pas. […]
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Traduit par Maïlis Destrée